Sainte-Rose village | Ste-Rose Laval  
 
Présentation des principaux chapitres de ce site
 
 
L'auteur, le photographe 
Marco Réardon
, décrit dans cette brève introduction les motifs qui l'ont poussé à créer un site web à compte d'auteur sur le village 
Sainte-Rose
. Il y parle de ses charmantes maisons souvent colorées sorties tout droit d'un livre d'images des années cinquante, de sa romantique rivière des 
Mille-Îles
, qui roucoule de méandres en méandres en longeant le flanc de ce vieux village, parmi les plus beaux du Québec. Il rappelle aussi que Sainte-Rose a donné naissance à deux grands enfants: le bon curé 
Labelle
 et le peintre 
Marc-Aurèle Fortin
.
 
 
On retrouve sous l'onglet  « Les maisons » cinq pages comportant chacune une galerie de maisons typiques de Ste-Rose. Au total, ce sont plus de soixantes maisons différentes qui ont été retenues parmi les cent-vingt photographiées à l'été 2011. Le choix définitif fut ardu car toutes celles immortalisées par le photographe avaient un intérêt particulier. Afin de garder des proportions raisonnables à ce site web, un choix s'est imposé et c'est ainsi que de nombreuses maisons de 
Ste-Rose
 ont dû malheureusement être laissées de côté. On remarquera, au bas de la galerie de la page quatre, au centre, la maison 
Desjardins
, avec son toît rouge. Cette maison, située sur le bord de la rivière des Mille-îles et visible de la rue des 
Patriotes
 est sans contredit la plus ancienne et aussi la plus intéressante du village de 
Sainte-Rose
; ses cloisons intérieures sont en pierre, particularité exceptionnelle pour les maisons de ce village. Cette maison abrite deux logements sis aux numéros 765 et 775 de la rue des Patriotes. Elle est classée au registre des monuments historiques de l'Île Jésus.
 
 
 
 
Le chapitre intitulé « Rêverie » ne présente pas, lui, des photographies des maisons de 
Ste-Rose
, mais plutôt des détails, morceaux architecturaux, décorations, ambiances reliées aux jolies résidences du village. C'est ici que l'on vient flâner, zieuter, rêvasser sur ces décors d'une autre époque. En effet, se promener dans le vieux Sainte-Rose constitue en retour en arrière au cadran des heures, une incursion dans le passé un peu lointain alors que la vie se déroulait à un rythme moins infernal. D'ailleurs, le meilleur moyen de découvrir 
Ste-Rose
, c'est de s'y perdre à pied ou encore de visiter ses petites rues à vélo. Mais surtout, n'oubliez pas votre appareil photo!
 
 
Le visiteur retrouvera dans la section «les jardins de l'ange» quatre pages différentes présentées sous forme de galeries. Chacune de ces galeries contient seize photos de jardins ou fleurs ornementales glanées dans le village de 
Sainte-Rose
. On y retrouve également des fleurs coupées présentées sous forme de nature morte. Plusieurs photos représentent aussi des éléments floraux photographiés en très gros plan. Une partie de cette collection est extraite de la page consacrée au photographe 
Marco Réardon
 sur 
Wikipedia
 ainsi que sur le site d'artistes 
DeviantArt
. Par contre, il faut bien spécifier ici que toutes les photos présentées dans cette collection ont été prises dans différents jardins de 
Ste-Rose
 gracieusement mis à la disposition de l'auteur de ce site par leurs propriétaires respectifs.
 
 
L'onglet «La rivière», lui, se présente sous forme de deux parties distinctes: dans un premier temps, on fait un saut au début du siècle jusqu'aux années 50 avec quelques photos d'archives de la vie autour de la romantique à souhait 
rivière des Mille-Îles
. Chacune de ces photos est accompagnée d'une note explicative visible lorsque l'on clique pour l'agrandir. Dans le texte d'accompagnement de la galerie consacrée au temps jadis de cette rivière sur les bords de laquelle s'est bâti le village de 
Sainte-Rose
, l'auteur raconte quelques anecdotes au sujet des baignades de l'époque. Dans la seconde partie de cette page, on retrouve quelques photos de la
 rivière des Mille-Îles
 prises récemment dont certaines ont été faites au 
Centre d'Interprétation de la rivière des Mille-Îles
 situé sur le boulevard Ste-Rose.
 
 
Réalisant à quel point le rail a joué un role important dans la vie du village de 
Ste-Rose
, nous avons rassemblé ici quelques photos anciennes de cette époque ou les montréalais venaient passer leurs vacances dans ce pittoresque village. On y raconte que la population de 
Sainte-Rose
 quintuplait en été et que les habitants réguliers sacrifiaient une ou deux puièces de leur maison, parfois même plus, pour fournir du logement à la horde de vacanciers qui débarquaient chez eux. Le train arrivant du centre ville de Montréal empruntait la voie menant à Mont-Laurier pour descendre les plaisanciers à la gare de 
Sainte-Rose
, malheureusement détruite en 
1983
. Cette démolition est extrêmement regrettable car ce bel édifice centenaire aurait pu facilement et à peu de frais connaître une nouvelle vie en étant recyclé en autre chose.
 
  
Nous arrivons maintenant à la section
 
«Métamorphoses» de ce site entièrement consacré au village de 
Ste-Rose. 
Nous expliquerons dans ce chapitre, avec plusieurs exemples à l'appui, l'empleur du  travail qu'a nécessité la remise en état des photographies des soixantes maisons du village sélectionnées. L'auteur avait dès le départ pris le parti de présenter les coquettes maisons de 
Sainte-Rose 
dans leur allure des années cinquante, avant le passage du progrès qui nous a apporté l'automobile, les compteurs électriques, les poteaux télégraphiques avec leur toile de fils dans tous les sens. Les choses moins esthétiques ont été maquillées ou carrément retirées dans certains cas. Les systèmes de climatisation accrochés aux fenêtres des lucarnes ont été gommés complètement et les plaques comportant les numéros civiques ont été brouillées afin de redonner aux maisons leur charmante et fière allure d'antan.
 
 
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