Ce village, souvent croqué par le peintre Marc-Aurèle Fortin, natif de Sainte-Rose, dégage, l'été, des parfums de verdure luxuriante ainsi qu'un air vieillot qui charme artistes et rêveurs. L'hiver, sa blancheur immaculée s'étend jusqu'à l'infini lorsque l'on arpente la surface glacée de sa rivière. Et en automne, son air tonifiant exhale des parfums de rivière et de sous-bois délicieux.
 
Ce site web, présenté plutôt comme un livre photographique, met en lumière une soixantaine de maisons retenues pour leur apparence originale, typique ou artistique. Ce ne fut pas aisé de n'en choisir que soixante sur plus d'une centaine photographiées, mais contraintes obligent. J'ai également présenté, dans l'onglet «Rêverie», plus d'une soixantaine de détails de maisons glanés au cours de mes nombreuses promenades photographiques dans le village.
 
De son côté, l'onglet «Les jardins de l'ange» propose des éléments floraux croqués dans divers jardins du village. On retrouve ensuite, dans la partie «La rivière», quelques photos anciennes et aussi d'autres plus récentes de l'ensorceleuse rivière des Mille-Îles, sur les rives de laquelle Ste-Rose se repose.
 
On retrouvera sous l'onglet «Métamorphoses» quelques détails concernant la retouche des photos illustrant ce site web.
 
Finalement, le volet «Quai de gare» fait référence à l'importance du rail dans la vie de Sainte-Rose-de-Lima.
 
Alors, chers internautes, bonne visite et surtout, n'hésitez pas à me contacter pour me faire part de vos commentaires.
 

Marco Réardon, photographe
 




L‘auteur photographié en 2011 au passage à niveau voisin de l‘ancienne gare ferroviaire de Sainte-Rose-de-Lima. (Photo: Hélène Caron).
Prélude  ●
 
Les maisons  ●
 
Rêverie ●
 
Les jardins de l'ange  ●
 
La rivière  ●
 
Quai de gare  ●
 
Métamorphoses  ●
 
Joindre l'auteur ●
Prélude
La passion et l'amour que m'inspire le pittoresque et accueillant village de Sainte-Rose-de-Lima ont fait que je n'ai pu m'empêcher de commettre ce site web qui se veut un hommage aux maisons, aux jardins et à la charmante rivière qui égaient ce petit patelin demeuré, à peu de choses près, ce qu'il était dans les années cinquante.